0 | ... | 60 | 75 | 90 | 105 | 120 | 135 | 150 | 165 | 180 | ... | 270

Césars 2012 #3

vendredi 24 février 2012

E.R. : Ils devraient passer plus d’extraits. Et de plus longs. Au lieu de tenter des stand up improvisés et gênants.

C.B. : On en oublierait presque que cette cérémonie n’avait vraiment AUCUN rythme.

A.M : À discuter sur ce dernier point.

E.R. : P.S. : Le vrai oublié de la soirée est Bonello. Son film n’a rien eu.

E.R. : Pas de Pater, pas (trop) de Polisse, pas (trop) d’Intouchables. The Artist, qu’on a aimé et défendu dès Cannes, ramasse tout. On ne peut pas vraiment se plaindre. On nous a eu.

M.P. : Polisse rincé. Une petite victoire.

N.L. : Thomas Langmann ressemble à Peter Lorre.

T.F. : merSy, plutôt que Polisse, sure !

C.B/ T.F. /E.R. : Tellement nul Canet, on en oublie qu’il est acteur.

E.R. : Dorénavant, merSy.

A.M : Terrible quand même cette façon de perdre son sens de l’humour au moment où on en a le plus besoin. Mais mérité, oui.

M.P. : Mérité. Ô Sy.

C.B. : Encore une offensive de Polisse qui tourne court. De Caunes a raison : Polisse vaut bien un pétard. Pas un César.

E.R. : Final Hollywoodien.

T.F : Gilles Lellouche, pitié...

T.F : Michel Hazanavicius, la classe américaine.

E.R. Michel Hazanavicius... Cette fois-ci on est plutôt d’accord. Hélas pour nous.

A.M : Regardez Cavalier...

E.R. And the winner is...

E.R. : Ah ah ah, le discours du distributeur "indépendant" est un chef d’oeuvre. Pour la "diversité" il remercie MK2, Canal plus, le Ministère de la culture... Quel courage !

T.F. : Laurent Laffite, acteur principal de l’infect Moi Michel G., d’un si bon goût.

C.B. : Eugenio j’ai pensé la même chose. Mais le montage parallèle de la fin est plutôt une question de réalisation. Si ça se trouve, la monteuse de Polisse est vraiment la meilleure.

N.L. : Maïwenn, j’espère que tu as pris des notes.

E.R. : Eh bien, meilleur montage : Polisse, Laure Gardette. Un César qui rend justice à la dernière séquence de Polisse. Le pire montage parallèle de l’histoire du cinéma français. Encore une fois, les Césars n’ont pas raté leur coup.

A.M : Evidemment de Caunes n’a pas fait d’allusion à la pédophilie de Frédéric Mitterrand.

C.B. : Il est donc en coulisses, rassuré, et se marre beaucoup. Il ne l’aura pas, mais ils ne l’auront pas non plus.

N.L. : Kassovitz encule deux fois plus le cinéma français.

E.R. : Beig est parfait pour présenter le César des sales gueules.

N.L. : L’horrible Beigbeder.

E.R. : Pas mal la rétro Annie Girardot aussi.

E.R. : Ça va de plus en plus loin... On roule de pétards sur scène.

A.M : Canal plus c’est vraiment des gros rebelles.

T.F. : Kasso, fair play.

N.L. : Valérie Donzelli est coiffée à la Mélanie Laurent. Tout s’éclaire.

A.M : Ah Sara Forestier ! Va-t-elle nous parler une fois de plus de sa culotte ?

C.B. : Guillaume Brac continuera de faire des bons films, avec ou sans César. Avec ou sans budget. Avec ou sans reconnaissance des noeuds paps.

E.R. : Je n’y crois pas !!! Dommage pour Un monde sans femmes...

E.R. : Attention ! C’est le moment de notre ami Guillaume Brac.

E.R. : "C’était dur d’y arriver Kate, Kate it’s hard to make you come..." Sacré Michel.

A.M : les seins de Kate Winslet, césars ex aequo des meilleures actrices.

C.B : Ils ont oublié "Créatures Célestes".

E.R. : Pas mal la rétro Winslet... On passe un bon moment. Le meilleur de la cérémonie, so far.

A.M : Visiblement Alice Taglioni ne s’est toujours pas remise de la mort de Jocelyn Quivrin.